
Interpellé le 16 février 2025, Claude Casimir Lasme avait diffusé une note vocale sur WhatsApp évoquant la présence de véhicules suspects aux abords d’une mosquée de Dabou, appelant à la vigilance. L’enquête a révélé qu’il n’avait aucune preuve pour étayer ses affirmations.
Le tribunal a retenu contre lui des charges liées aux articles 179, 190, 231 et 233 du Code pénal, qui répriment la diffusion de fausses nouvelles et l’incitation au trouble à l’ordre public.
Dans son communiqué, le parquet de Dabou met en garde contre la propagation de fausses informations, particulièrement en cette année électorale, et rappelle que de telles infractions seront sévèrement sanctionnées.
(Ivoire.ci)