CANFE-CI : la sénatrice Mariame Jacqueline Dao Gabala appelée à poser sa candidature

Plaidoyer réussi en faveur de la sénatrice Mariame Jacqueline Dao Gabala

Le mardi 09 juillet 2025, à la Maison de la Presse d’Abidjan-Plateau, le comité de coordination organisationnelle, technique et scientifique du CANFE-CI a tenu une rencontre décisive. Dans une ambiance conviviale, rythmée par la fanfare et des chants d’encouragement, plusieurs femmes entrepreneures, membres de ce comité, ont exprimé leur soutien à la sénatrice en lançant un plaidoyer clair en faveur de sa candidature à la présidence du conseil d’administration.

Une mobilisation ciblée, mais déterminée

Tout au long de cette rencontre, des voix influentes issues du comité de coordination se sont succédé pour saluer la stature, l’expérience et la crédibilité de la sénatrice. Théodore Sinzé, représentant de Capital Média, a déclaré : «?La présence de la sénatrice à la tête du Caucus sera un gage de sérieux et de visibilité?». Il l’a qualifiée de «?grande dame pétrie de qualités unanimement reconnues par l’opinion nationale?».

Corinne Baguinoff Kadra, cheffe de la délégation, a renchéri en affirmant : «?Le nom de Mariame Jacqueline Dao Gabala résonne avec autorité et noblesse dans les sphères politique, économique et sociale de notre nation?». Selon elle, la sénatrice incarne une figure tutélaire et fédératrice, apte à porter une vision ambitieuse et moderne pour le CANFE-CI.

Femme d’affaires aguerrie, gestionnaire chevronnée, stratège du développement et actrice politique de premier plan, la sénatrice représente, selon ses soutiens, le profil idéal pour impulser une nouvelle dynamique au sein du réseau.

Une vision claire pour un avenir ambitieux

Ce plaidoyer s’est également articulé autour des défis actuels du CANFE-CI. Odile Dabe Zoga a rappelé les nombreux avantages liés à l’appartenance au réseau : accès à des financements groupés, formations continues, accompagnement technique et juridique, ainsi qu’une reconnaissance institutionnelle croissante.

De son côté, Yotio Yolande Joëlle a mis en lumière les attentes stratégiques portées par cette candidature : renforcer le positionnement du CANFE-CI auprès des pouvoirs publics et des partenaires techniques et financiers, favoriser un cadre législatif et fiscal adapté à l’entrepreneuriat féminin, et faciliter l’accès aux dispositifs d’appui nationaux et internationaux.

Une réponse empreinte de responsabilité

Interpellée par cet appel unanime, la sénatrice Mariame Jacqueline Dao Gabala a pris la parole avec émotion et gravité. Dans un discours sincère, elle s’est adressée à ses soutiens en ces termes « Je vous ai écoutés et je suis face à un dilemme. Je ne peux pas refuser. Le challenge est grand, il est important. Si j’accepte d’être candidate au poste de PCA du CANFE-CI, c’est vraiment pour donner une âme à l’institution. Il y a beaucoup d’organisations qui mettent l’accent sur l’entrepreneuriat féminin, mais il faut quelque chose de plus concret. C’est vraiment pour tracer les sillons de l’institution et lui permettre d’avoir une certaine visibilité. Si vous acceptez de m’aider, alors je vais accepter le challenge. », s’est-elle prononcée.

Ses propos, porteurs d’engagement et de vision, ont été salués par un tonnerre d’applaudissements, marquant une adhésion pleine et entière à sa posture et à son ambition.

Un enthousiasme partagé

Parmi les nombreuses réactions positives, celle de Désirée Bognini Djomand, coordinatrice du comité de coordination organisationnelle, technique et scientifique du CANFE-CI,en charge de la mise en place de la structure, a particulièrement retenu l’attention. Elle s’est réjouie de l’unanimité des soutiens à la sénatrice, qu’elle considère comme une opportunité historique pour hisser le CANFE-CI à un niveau d’impact et de rayonnement.

Vers une nouvelle ère pour le CANFE-CI

Avec ce plaidoyer salué par la majorité des membres du comité de coordination, le CANFE-CI s’apprête à écrire une nouvelle page de son histoire. Structuré, ambitieux, porté par une base mobilisée et une leadership d’envergure, le Caucus entend consolider son rôle de pilier de l’entrepreneuriat féminin en Côte d’Ivoire.