L’abattoir de Doropo souffre d’un délabrement avancé depuis de nombreuses années, a constaté l’AIP.
Ce site construit dans les années 80 doit subir des réaménagements importants. Près de 40 ans après son ouverture, ce sont six à sept bœufs qui sont abattus par jour. Malgré ce fait, il n’existe aucune hygiène minimale. La viande y est dépecée à même le sol.
Face à cette situation qui est de nature à mettre à mal la santé des consommateurs, un bâtiment moderne adapté aux activités d’abattage de bœufs et rependant aux normes sanitaires en vigueur, s’impose dans l’urgence, selon des habitants.
Le maire résident de Doropo, Ouattara Bondassogo Jean, a indiqué qu’un projet de construction d’un nouvel abattoir sur le même site a été annoncé par une structure spécialisée dans la filière bétail.
AIP